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05 Jun

Avocats Sans Frontières/Kinshasa infiltrés par des Avocats criminels.

Publié par Joseph KABEYA

Membres de l'ONG Avocats Sans Frontières

Membres de l'ONG Avocats Sans Frontières

RDC : Bureau Avocats Sans Frontières (ASF)/Kinshasa.

 

Avocats Sans Frontières/Kinshasa infiltrés

par des Avocats criminels.

 

Les préjudices causées par Avocats Sans Frontières ASF/Kinshasa à Mr Joseph KABEYA sont indiscutables, en tant que victime et Défenseur des Droits de l’Homme, par Me SHAKIRA, membre de l’ASF, et par l’ASF elle-même ; et pourtant recommandé par le Bureau Conjoint des Nations Unies aux Droits de l’Homme (BCNUDH), son partenaire. Dans les détails, il y a un homme qui aggrave la situation Me Dominique KAMWANDU WA KAMWANDU, connu par la victime dans une autre affaire d’il y a 18 ans, dans laquelle il s’est abstenu de défendre la victime (sans lui dire pourquoi) Me André MUILA est celui qui a arrangé cette affaire en complicité avec ses confrères dont Alexis LENGA WALENGA PENZE Avocat Conseil du feu PDG/SCIBE-CONGO Jeannot BEMBA SAOLONA, à la base de ce crime contre J. KABEYA, et pourtant recommandée par  le  Bureau  sur  terrain  au  Congo  du  Haut Commissaire aux Droits de l’Homme à l’époque.

 

Par Joseph KABEYA. Tél : +243812049022,  Site Overblog - Blog :  justicekkt.com  

 

Les hommes passent, les Institutions restent, c’est un adage bien connu de tout intellectuel, et surtout de juristes bien formés. Comme dans ce contexte, Me Shakira qui était membre du Bureau ASF/Kinshasa à l’époque, en quittant elle n’est pas parti  avec l’ASF et les dossiers qu’on lui a attribués ; naturellement les dossiers que l’ASF lui a confiés sont conservés dans les tiroirs de l’ASF, et normalement avant de partir elle était censée procéder à une remise et reprise ; l’ASF ne pouvant rien faire, devrait remettre le dossier au BCNUDH et informer Joseph KABEYA l’Activiste des Droits de l’Homme ;

 

Victime d’une présence policière irrégulière en date du 19/12/2016, Mr J. KABEYA avait saisi pour le compte de sa famille, comme de deux locataires dans la parcelle, le BCNUDH, celui-ci par l’une de ses fonctionnaires, Mme Jeannette va orienter l’activiste vers l’un de ses partenaires, Avocats Sans Frontières/Kinshasa,  sur place un membre de l’ASF,  Maître Junior  va lui présenter  Me Shakira avec qui ils ont échangés ;

 

Après l’explication de Mr J. KABEYA, celle-ci comprenant qu’il n’y avait pas précision sur le nom de la personne convoquée par le Commissariat Urbain de la FUNA le 14/12/2016, par sa convocation du 13/12/2016, elle lui dira d’attendre une 2ème convocation de cette affaire. Et pourtant elle n’avait pas traité les autres points  suivant le dossier en question, concernant cette descente suspecte de la Police criminelle PNC Ville de Kinshasa ;

 

Revenant vers ASF au mois de février 2018, après plusieurs mois, Me Fabien le Coordonnateur de projets le recevra  avec courtoisie et une très bonne manière, pour lui dire que Me SHAKIRA n’était plus avec eux, et qu’il fallait qu’il le renseigne sur le responsable du BCNUDH à qui l’ASF devrait écrire pour éventuellement remettre le dossier en question, vu que l’ASF n’avait plus un programme de financement de ces genres d’affaires, c’est ici ou nous posons la question de savoir si cela tenait debout, car le BCNUDH ne pouvait pas saisir un partenaire qui n’avait aucun financement dans ces genres d’affaires, qui dit vrai ? Est-ce normal qu’un Avocat de l’ASF ignore à qui l’organisme peut s’adresser pour remettre le dossier dont elle n’a pas traité pour une telle raison ?  

 

Naturellement, J. KABEYA avait saisi le Directeur du BCNUDH et pas l’ASF, mais Mme Jeannette travaillant pour le BCNUDH  avait orienté ce dossier vers l’ASF, pas en tant que Mme Jeannette, mais en tant qu’une fonctionnaire travaillant pour le BCNUDH ; par conséquent, il est simple de comprendre, que c’est à l’ASF d’écrire au Directeur du BCNUDH, lui signifiant qu’elle n’avait pas un programme de financement pour ce dossier, et en remettant le dossier tel qu’il a été communiqué par le BCNUDH ;

 

Ne l’ayant pas fait, l’ASF porte toute la responsabilité de cette obstruction et abstention causant des torts à plusieurs personnes concernées dans cette affaire, il y a violation de l’Ordonnance-Loi 79-028 du 28 septembre 1979 portant organisation du barreau … suivant ses articles 74, 75, 76, 77, que ses avocats membre de l’ASF sont censés ne pas ignorer ;

 

Nous soutenons par cette façon de faire que J. KABEYA et les autres personnes seraient victimes du Bureau de l’ASF de Kinshasa, où se retrouve un avocat qui a maintenant à peu près 20 ans d’expérience de métier d’avocat, qu’il a connu dans une autre affaire mais qui s’est comporté de la même façon, cet avocat c’est Me Dominique KAMWANDU WA KAMWANDU qui est l’un de responsable du Bureau ASF à Kinshasa ;

 

Cela veut dire pour J. KABEYA, que Me SHAKIRA n’a pas agi comme cela par hasard, car Me Dominique KAMWANDU reconnaissant Mr J. KABEYA, a voulu par l’entremise de celle-ci obstruer la démarche pour étouffer Mr J. KABEYA victime de ses confrères dont Alexis LENGA WA LENGA PENZE et d’autres au service machiavélique de la famille BEMBA SAOLONA et les Sociétés SCIBE-CONGO, SCIBE-AIRLIFT et d’autres, qui pour protéger ses intérêts immoraux persiste à nuire, en étouffant tout dossier soutenu par J. KABEYA ;

 

Me Dominique KAMWANDU est un homme dangereux, il cache une nuisance machiavélique que ne peut déceler qu’un homme d’expérience, comme J. KABEYA, sa victime d’il y a 18 ans. Il soutient, lorsque Mme Jeannette m’a orienté  vers cette structure, j’ai même voulu refuser sans dire à la dame, que la présence de Me Dominique KAMWANDU WA KAMWANDU ne m’inspirait pas confiance,  puisque je connaissais l’homme et sa roublardise ; il le considère comme le responsable de son exil forcé sur le territoire de la République du Congo. Car si  Me Dominique et Me André MUILA avaient pris sa défense avec responsabilité J. KABEYA n’allait pas prendre le chemin de cet exil forcé pour sa protection sur le territoire d’un autre pays ;

 

Il a voulu protester sans citer le nom ou les noms de certains avocats suspects dont Dominique KAMWANDU WA KAMWANDU,  Mme Jeannette lui  dira  qu’il fonctionnait comme ça, c’est-à-dire que le BCNUDH travaille avec des partenaires, dont l’ASF. Il gardera son secret pour essayer de voir si l’ASF fonctionnait autrement, mais malheureusement, comme heureusement, son silence a fini par lui faire découvrir que l’homme est resté le même ;

 

Me Dominique a manipulé la jeune avocate qui s’est exécutée comme lui il y a 18 ans, posant un acte d’obstruction et abstention contre la procédure judicaire qu’il devrait déclenchée en faveur de J. KABEYA.  Le concerné se retrouve ainsi en face de son tortionnaire par procuration qui est Avocat, membre du Bureau ASF/Kinshasa,  Me Dominique KAMWANDU WA KAMWANDU qui l’avait invité par une référencée n° 077/SE/CAJEJ/2000 du 11/05/2000 du Secrétariat Exécutif du CAJEJ,  signé par lui à l’époque comme Secrétaire Exécutif Adjoint, sous la responsabilité de Me André MUILA,  pour se taire éternellement, n’est-ce pas une non assistance à personne en danger ? Peut-il le nier aujourd’hui ? Et s’il nie J. KABEYA nous a transmis le document qui le prouve, nous sommes près à le publier ;

 

Il s’est solidarisé négativement à ses confrères dont Me Alexis LENGA WALENGA PENZE, Willy NGOYA MOKO, NGENDENZA EZUNGA, Freddy KPALAKUMU, pour étouffer le dossier que les Nations Unies par son Bureau sur le Terrain au Congo/Haut Commissaire aux Droits de l’Homme a recommandé au Centre d’Assistance Judiciaire & d’Education Juridique (C.A.J.E.J.) – référence          n° 0417/HRFOC/2000 du 04/05/2000, signé par le Directeur Frej FENNICHE -  sous Toges Noires dirigé par un autre Avocat corrompu Me André MUILA son Secrétaire Exécutif en tant que Supérieur hiérarchique, qui est son complice très impliqué dans cette affaire depuis l’année 2000 ;

 

Il est  victime d’une discrimination de la part de cette jeune avocate, membre de l’ASF, et de l’ASF elle-même, puisqu’elle est restée muette, sans réaction responsable, malgré cette violation déontologique du métier d’avocat, et de défenseur des droits de l’homme par excellence, qu’elle est censée être ou dont ils sont  tous  censés être, il y a entrave ou obstruction à une procédure judiciaire pouvant le remettre comme victime dans ses droits dans le récent dossier, où plusieurs personnes sont très concernés  ; et surtout protéger le dénonciateur principal qu’il est ;

 

Le comportement collectif au sein de l’Ordre National des Avocats de la RDC, et au sein des Barreaux, comme individuel de ses avocats viennent de confirmer les propos dénonçant la corruption, et autres antivaleurs entretenus par les Avocats dans les milieux judiciaires, comme dans la vie en général, du Ministre de la Justice TAMBWE MWAMBA qui sont très crédibles de par ses qualités de juriste de formation, avocat de profession et plus sérieusement en sa qualité de Ministre de la Justice, membre du Gouvernement ;

 

Le Conseiller Spécial du Chef de l’Etat, Mr LUZOLO BAMBI qui cherchait des Kuluna en cravates, et bien ils les a aussi sous toges d’avocats. Certains de ces criminels sous toges d’avocats sont protégés par l’Ordre National des Avocats de la République Démocratique du Congo, comme par les Barreaux de Kinshasa-Gombe et  Kinshasa-Matete, et les autres Barreaux disséminés à travers la République qui par leurs silences se solidarisent au sein de l’Ordre Nationale des Avocats profondément corrompu ;

 

Nous dénonçons, que le Procureur Général de la République fasse son travail comme toute autorité judiciaire compétente suivant la loi ; l’Ordre National des Avocats est à la base de la présence des Avocats criminels en son sein, l’ONA viole ainsi  l’Ordonnance-Loi 79-028 du 28 septembre 1979 portant organisation du barreau … en violation de l’article 120, que le Conseil National de l’Ordre, l’organe exécutif applique avec complaisance, ou n’applique même pas, entretenant ainsi l’immoralité dans le corps, l’ONA rime avec les crimes organisés.

 

La Justice élève une nation.

 

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